Arme de NieR

arme
Nom :Lame Traîtresse
Type :Arme à une main
Référence :Chant de Skald : Drakengard & Drakengard2
Niveau :IIIIIIIV
Attaque :139179231255
Magie :20%30%40%50%
Poids :LourdeLourdeLourdeLourde

Lieu : -Manoir-
Condition d'activation : Disponible à partir de la première partie.

Conditions d'obtention : Dans le Manoir, après avoir accepté la requête du majordome de vaincre les ombres, vous trouverez l'arme dans une caisse à l'angle d'un couloir à l'issue duquel se trouve le point de sauvegarde.

Ressources requises :
Niveau 2 : Minerai de cuivre x10 / Machine simple x1
Niveau 3 : Minerai de cuivre x15 / Huile de graissage x2 / Pièce de métal rouillée x1
Niveau 4 : Minerai de cuivre x20 / Pyrite x1 / Pièce de métal rouillée x1
(Guide de localisation des matériaux : Lien)

Historique In Game :
- La lame de cette épée devient aussi peu tranchante que du bois lorsque celui qui la manie perd sa voie.
- Quand un homme perdu manie cette épée, sa lame devient émoussée comme du bois.

Historique du remake :

Les sœurs étaient des pantins à la mécanique complexe. Leur assemblage était si soigné que quiconque posait les yeux sur elles partait inévitablement du principe qu'elles étaient humaines. Elles étaient le progrès technologique incarné ; elles marchaient comme des humains, mangeaient comme des humains et riaient comme des humains. Elles ne pouvaient pas, en revanche, verser de larmes, car elles n'avaient pas été conçues pour.


Les sœurs étant des machines, elles ne ressentaient rien. Elles pouvaient se lamenter aussi bien qu'un autre, bien sûr, mais elles ne ressentaient pas la tristesse, car elles n'en connaissaient pas l'existence. Leurs amis périrent dans de tragiques accidents et leur créateur mourut de maladie, mais même alors, elles ne ressentirent rien. Pour les sœurs, le seul changement était que ces gens n'existaient plus.


Pour une chaude journée de printemps, un chat errant s'aventura dans leur maison. Un animal sale, rachitique, et malade. "Quelle corvée...", pensèrent les sœurs en apercevant la misérable créature. Pourtant, elles lui donnèrent du lait, le nettoyèrent et le gardèrent au chaud, si bien que le chat retrouva rapidement la santé. À compter de ce jour, où que se rendent les sœurs, il les suivait et se frottait contre leurs jambes lorsqu'il voulait de la nourriture. S'il attrapait une souris, il leur présentait son trophée pour fanfaronner. S'il voulait de l'amour, il miaulait tristement jusqu'à ce qu'elles s'intéressent à lui. "Quelle corvée...", pensaient les sœurs.


Pour une froide journée d'hiver, le chat entra dans la maison, laissa échapper un faible miaulement, et mourut. La plus jeune sœur secoua le corps de l'animal, encore et encore. L'aînée lui cria de se réveiller, encore et encore. Mais le chat ne remua pas, le chat ne répondit pas. À cet instant, les sœurs eurent l'impression de sentir quelque chose se briser dans leur poitrine et, à partir de ce jour, elles ne ressentirent véritablement plus rien.


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