Version Japonaise |
atarase ri hametsuau ta kemonoto nari tokiri ubaisa ru harinoshira be rin’neno hito Tari shito habatatsuami koi kuraishirokara itsu oa tooku kikoe amai kirokubane sasameku kuroihana anokoega kowaretameno aru mama kuroihana anoutaga tsukurimaitsu aru mama imi atarase ri kooriau ta akumuna mau hiwo muto tachikirushiga iku akaimorikara imu beku kegare haramu yowai anoomoi hagareru kuroihana anokoega inorinochiga aru mama kuroihana anoutaga zangenohiga aru mama kie saiyakua machioriru kowaretatoki hito yume kurikaeri wakareyuki yurusarezaru Oto Hana shiu |
Traduction Française |
Ceci est l’emprise de la cantate de la ruine La résonance monstrueuse annonçant la fin Qui dérobe à l’humaine La réincarnation désirée Les Apôtres assujettis agitent leurs ailes Dans un abîme cendre et blanc Ce lointain écho peut être perçu Les murmures innocents des plumes, vestiges du passé La fleur noire a une voix Germant dans un œil brisé La fleur noire a une cantate Orchestrant une danse artificielle À dessein Ceci est l’emprise de la cantate glaciale La danse cauchemardesque marquant La rupture entre la mort et le néant Isolée dans la forêt pourpre Évitant d’engendrer la souillure De faibles convictions auxquelles il faut renoncer La fleur noire a une voix Semant le sang par la prière La fleur noire a une cantate Alimentant le feu purgateur Pour disparaître La calamité patiente face à sa propre perte Brisant son temps, ses rêves et son humanité Entonnant le refrain de la séparation Que l’impardonnable fleur du son Périsse |
Traduit par Bdouine |