Dans cette lame brûle une double malédiction : la haine de la victime pour la religion et pour l'homme qui l'a tuée.

Les possesseurs de cette lame sont comme ensorcelés et se mettent à tuer sans répit. C'est seulement en se coupant la main qu'ils peuvent bloquer la malédiction.

Mais même privée de main, l'arme ne cesse de tuer. La douleur rageuse de l'amputé pousse la lame à se mouvoir seule.

Pour mettre un terme à cette malédiction, il faudrait que l'esprit qui habite l'arme tombe amoureux de son utilisateur. Mais cela n'est encore jamais arrivé.