Mensab, logging in.
Posté : 26 févr. 2018, 17:56
Bonjour à tous,
Joueur depuis assez longtemps pour pardonner à NieR sa réalisation ^^, oscillant entre l'école du gameplay et celle de la narration, je pense au final que le gameplay procure une émotion qui s'arrête le plus souvent à la fin de la session de jeu, alors que la narration laisse un impact plus durable, qui peut même dans certains cas commencer à se ressentir vraiment après avoir joué. Je parle évidemment de ça pour caractériser les jeux de Taro. A chaque opus, c'est après que j'ai pris l'ampleur et la portée des enjeux liés à cet univers si particuliers. Vous avez peut-être eu cet effet.
Je connaissais DrakenGard de nom, pour son côté sulfureux. J'ai acheté NieR à sa sortie par accident, et la séquence d'ouverture m'a suffi pour avoir la motivation de passer au-dessus du manque évident de moyens. Dans la foulée, je me suis intéressé à l'univers, j'ai acheté DrakenGard, juste avant la sortie du 3ème volet. Que j'ai pu apprécier pour ses références. J'ai fait l'impasse sur le 2, comme beaucoup. Et j'ai fait Automata, bien sûr. Qui sur chacun des plans classiques sur lesquels on décompose un jeu n'apparaitrait peut-être pas comme le meilleur pour moi, mais qui, par effet de synergie, se retrouve peut-être comme le RPG ultime à ce jour, pour moi encore une fois.
Maintenant qu'il est probable que Taro continue à tisser des liens ou ouvrir des portes au sein de son univers, je m'intéresse évidemment à son évolution ainsi qu'à la façon dont il est vécu, par les jeux, mais aussi la musique, les visuels, et même par les références symboliques à la culture pop japonaise et à la vision classique du jeu vidéo dont la saga semble faire un portrait acide.
Voilà en quelques lignes pourquoi c'est le kif. Et pourquoi je suis content d'avoir découvert ce forum, mieux vaut que jamais il paraît.
A bientôt o/
Joueur depuis assez longtemps pour pardonner à NieR sa réalisation ^^, oscillant entre l'école du gameplay et celle de la narration, je pense au final que le gameplay procure une émotion qui s'arrête le plus souvent à la fin de la session de jeu, alors que la narration laisse un impact plus durable, qui peut même dans certains cas commencer à se ressentir vraiment après avoir joué. Je parle évidemment de ça pour caractériser les jeux de Taro. A chaque opus, c'est après que j'ai pris l'ampleur et la portée des enjeux liés à cet univers si particuliers. Vous avez peut-être eu cet effet.
Je connaissais DrakenGard de nom, pour son côté sulfureux. J'ai acheté NieR à sa sortie par accident, et la séquence d'ouverture m'a suffi pour avoir la motivation de passer au-dessus du manque évident de moyens. Dans la foulée, je me suis intéressé à l'univers, j'ai acheté DrakenGard, juste avant la sortie du 3ème volet. Que j'ai pu apprécier pour ses références. J'ai fait l'impasse sur le 2, comme beaucoup. Et j'ai fait Automata, bien sûr. Qui sur chacun des plans classiques sur lesquels on décompose un jeu n'apparaitrait peut-être pas comme le meilleur pour moi, mais qui, par effet de synergie, se retrouve peut-être comme le RPG ultime à ce jour, pour moi encore une fois.
Maintenant qu'il est probable que Taro continue à tisser des liens ou ouvrir des portes au sein de son univers, je m'intéresse évidemment à son évolution ainsi qu'à la façon dont il est vécu, par les jeux, mais aussi la musique, les visuels, et même par les références symboliques à la culture pop japonaise et à la vision classique du jeu vidéo dont la saga semble faire un portrait acide.
Voilà en quelques lignes pourquoi c'est le kif. Et pourquoi je suis content d'avoir découvert ce forum, mieux vaut que jamais il paraît.
A bientôt o/