Commentaires -Drakengard en roman

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Nashira
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Re: Drakengard en roman : commentaires

Message par Nashira »

C'est vrai, les descriptions se perdent. Il faudra peut-être que j'essaie d'y remédier lorsque j'entamerais la correction, sous la tutelle de notre Reine =)
Et surtout si vous avez des suggestions (quelles qu'elles soient) qui pourraient venir enrichir les textes ou même changer un détail déplaisant du scénario, n'hésitez pas ! D'autant plus que, plus nous avancerons dans l'histoire, moins elle tiendra debout...
Même moi en me relisant je ressens des gênes, à vrai dire. Je n'aime pas mon propre style, je le trouve un peu (beaucoup) comment dire.... creux ?
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Bdouine
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Re: Drakengard en roman : commentaires

Message par Bdouine »

Nashira a écrit :Je n'aime pas mon propre style, je le trouve un peu (beaucoup) comment dire.... creux ?
-> Tu m'aurais dit raide que je me serais inquiétée. ^^
Si tu cherches à modifier ton texte dans le cadre d'une eventuelle correction, je te suggère d'attendre Dod3.
Peut-être que tu pourras y trouver des choses à intégrer dans le roman afin de lier les deux jeux entre-eux. Ce n'est pas véritablement nécessaire mais si l'inspiration manque, ça reste une bouée de sauvetage. ^^'

Chapitre 9 ?
Vraiment, c'est un chapitre ?

J'ai plusieurs choses à dire, la première étant... Diantre ! C'est trop court ! Ça sent le passage expédié. ^^'
Si j'ai bonne mémoire, on se bat pour protéger ce sceau alors même qu'il est menacé par des spectres. C'est probablement le premier combat contre des créatures immaterielles.
Déçu de ne pas avoir combattu précédemment, on verrait un Caim se battre pour la première fois contre de telles créatures, se demandant si ses armes seront efficaces. On aurait pu avoir des passages descriptifs sur l'affaiblissement du sceau, son rayonnement diminuant, le sol se déchirant, les jeux de lumières pendant le combat (magie) et j'en passe... (presque une répétition d'une simili apocalypse)
Poser l'ultime question aussi : que faisait le dragon rouge pendant que Caim se battait sur le sceau ? calciner d'autres griffons et les impériaux autour du sceau ? Caim pourrait apercevoir dans l'obscurité les flammes de son partenaire, se déchaînant non loin de là, tandis qu'il se bat contre les spectres et sous les lamentations de Verdelet.

Tu voulais des suggestions, en voilà :
A ce stade, on sait ce que Caim pense du dragon rouge mais l'inverse est moins évident. Ça ne concerne pas vraiment ce chapitre mais l'ensemble.
On voit que le dragon rouge s'est vite adapté mais au-delà... Aucun râle du style : "me voilà empêtrer avec cet humain et à me battre pour la sauvegarde humaine, quelle humiliation !"
Pourquoi pas se lancer sur les pistes de Dr2 et faire que le dragon rouge s'interroge sur ces actes.
Par exemple, pendant qu'il était enchaîné dans la cour en découvrant Caim : "qu'est-ce qui m'a poussé à venir au bastion de la déesse ? Voilà maintenant que cet humain me toise et me menace ?!!"
En partant du principe que les machines impériales l'ont abattu et que les soldats l'ont ensuite enchaîné, il aurait pu montrer un peu d'esprit de revanche quand il laisse Caim dans le bastion. Ça aurait pu apparaître vivement dans l'esprit de Caim, désormais uni par le pacte.

Séquence faute : (oui oui, même dans un petit chapitre, yen a)
"avoir osé défier un dragon et son allier..."
-> allié !!!!
-> A ce stade, je ne sais pas si le dragon rouge considérerait Caim comme un allié. Ou alors, si ça lui échappe insconciemment, il faudrait indiquer son étonnement. Une phrase bateau ferait l'affaire, exemple = Le dragon rouge pensa : "Cet humain, un allié... ? Ridicule. La fatigue perturbe mes sens." La fatigue doit commencer à se faire sentir d'ailleurs, pacte ou non.

"Les flammes avaient eut raison des troupes impériales."
-> avaient eu

"« Caim, viens voir »"
-> Un point please.


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Chapitre 10
J'ai bien aimé lire ce chapitre, ça m'a semblé rapide mais je ne vois pas ce que tu pourrais rajouter.
Les soldats pourraient éventuellement se demander pourquoi elle n'a pas été tué comme le reste de sa famille, pourquoi ils la gardent prisonnière alors qu'il est évident qu'elle est complétement brisée et folle. (donc inutile)

Séquence faute :
"Moi, j’ai finis par l’apprécier."
-> ai fini

"Elle est sans défenses,"
-> sans défense

"− Il est trop tard pour toi de mourir."
-> trop tard ? en un sens oui... mais là ce serait plutôt "tôt" non ?

Elle redressa sa carcasse
-> Et ? Un point please ^^

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Chapitre 11

J'ai apprécié ce chapitre, le passage déprimant de Furiae en regardant le sable était excellent. Son insistance à retrouver Inuart me paraît exagéré car ça implique que Caim la quitte de nouveau et se mette en danger. Remarque, je peux comprendre qu'elle ne supporte plus de perdre quoi que ce soit, surtout depuis la mort de ses parents. (perdre son royaume, son entourage, son humanité, sa liberté et finalement son ancien fiancé)

A un moment donné, je n'ai pas compris ce qui se passait : "Le silence tomba au cœur des dunes froides. L’astre de la nuit avait atteint l’apogée de sa course et redescendait lentement. Son croissant renversé donnait l’impression de voir sur le ciel un bateau voguant dans une mer de diamants.
Un son inconstant irradia soudain à travers les dunes sablonneuses. Une voix. Un appel..."

>Pour moi, ça ressemble à une ellipse. Le dialogue précédent coupe court et j'ai eu l'impression que tout le monde se reposait à mesure que l'astre poursuivait sa course jusqu'à ce que Verdelet entende la voix.
Si c'est ça, tant mieux mais ce n'est pas clair. Si ce n'est pas ça, bah, ce n'est pas clair. ^^

Séquence faute :
"− Léonard, la mort de tes frères te ronge... Tu dois essayer de te pardonner."
> Pas de faute... Mais qui parle là ? Moi, je sais, c'est Verdelet. C'est évident pour les connaisseurs mais pas pour les autres.

"devenant peu à peu le soldat la plus sombre et le plus impitoyable de toute l’Union."
> le (Tu oses !! Il s'agit de Caim tout de même)

"dit-t-elle d’une voix pleine de soulagement."
> dit-elle (c'était l'instant découverte ^^)

"L’évêque affichait un air tout aussi embrunit que Caim."
> embruni

"− Léonard à bien eut l’occasion de s’en rendre compte..."
> a bien eu (grrrr)

"Mais il n’entendit rien hors-mi la voix du vent."
> hormis


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Chapitre 12

L'arrivée du groupe à la prison m'a semblé rapide au début. (A vol de dragon, pas une seule bestiole à se mettre sous la dent.) Je suis un peu déçue que Salamandre et Ondine n'ont pas parlé dans ce chapitre, notamment pour répondre à Verdelet sur le prix du pacte.
Par contre, Arioch est bien creepy (dès que je pense à la folie/peur, je n'ai que des mots anglais en tête)

Pas de passage sur comment le groupe rentre ? 3 personnes sur le dragon dont une instable.
Caim n'en veut pas juste derrière lui (elle vient d'essayer de le tuer), Verdelet pourrait flipper un peu si son sort se désactive. Vu qu'il n'a pas pu sonder l'esprit d'Arioch en raison de ses partenaires, va savoir si son sort va tenir... Le dragon pourrait s'en amuser, ajoutant qu'il les laisserait tomber, verdelet et elle, si elle fait n'importe quoi.


Séquence faute :
"La voix se faisait de plus en lus affolée."
> plus

"Certains hommes de l’Union se massèrent autour du dragon lorsqu’il eut atterrit."
> eut atterri

"Caim se reçu lourdement au sol."
> reçut (snif)

"La réserve de nourriture du camp investit s’avéra riche en denrées"
> investi

"Les murs de ??? étaient effondrés sur le sol."
> pierre

"Prit en traitre, Caim ne parvint pas à contrer l’attaque d’Arioch."
> traître

"Elle avait bien faillit le tuer !"
> avait bien failli


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Chapitre 13

Un chapitre de pause, tant mieux mais je suis étonnée qu'ils ne parlent pas de stratégie. Techniquement, après l'échec au territoire elfique, Furiae devait aller au désert pour y être protéger mais le sceau sur place est détruit, donc ils font quoi maintenant ? Faut se ré-organiser.
Le bataillon du soldat à l'air farouche n'est pas l'air d'être encore là non plus, on pourrait concevoir qu'ils attendent son arrivée pour planifier la suite. Leonard pourrait lancer la discussion à ce sujet et Verdelet (ou le dragon) balançerait qu'il faut attendre que le bataillon arrive avant de procéder à tout déplacement sinon, les soldats vont les chercher dans le désert en vain. Le sylphe pourrait se moquer, comme à son habitude, vu que ça ferait plus d'humains morts dans le sable, pour la différence que ça fait (c'est-à-dire aucune^^).

*Relecture* Oh ! C'est un scandale ! Le dragon rouge donne des leçons sur la raison conduisant les élémentaires à pactiser avec Arioch (bien trouvé d'ailleurs) mais aussi sur ce qui poussait le sylphe à pactiser avec Leonard et... et ? Rien !
Le sylphe se justifie et même pas une petite pique. Même pas un : Et toi dragon, c'est quoi ton excuse ? N'as-tu pas un faible pour les humains pour avoir pactiser avec l'un d'entre-eux ? Ça aurait pu mettre en rogne le dragon mais aussi Caim, surtout qu'ils n'ont pas fait par complaisance.
Ondine et Salamandre vont-ils parler un jour ? Ce sera dans un chapitre avec le sceau marin, j'imagine.

Séquence faute :
"Jusqu’à ce qu’ils disparussent."
> j'ai rien contre le subjonctif imparfait mais le présent serait plus agréable : qu'ils disparaissent

"ces êtres ont pactisés avec elle"
> pactisé

"Il n’avait même pas eut le cran de terminer le travail commencé !"
> n'avait même pas eu

"Si je désirai le garder en vie nous devions passer un pacte !"
> désirais (mieux vaut l'imparfait que le passé simple)

"Malgré tous ses efforts pour le protéger il avait faillit"
> avait failli

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Chapitre 14

Un chapitre joussif car on aime voir Inuart souffrir, il est très fidèle à ce qui se passe dans le jeu.
Rien à dire, juste magnifique. ^^

Séquence faute :
Il s’était battu pour protéger les siens, mais il avait faillit.
> avait failli (un t, encore un !)

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Chapitre 15

J'ai beaucoup aimé ce chapitre. Car oui ! Enfin ! Ondine et Salamandre parlent !! ^^
Non, pas seulement pour ça : on a la description de l'endroit mais aussi sur les actions de chacun. Nous avons aussi le festin d'Arioch qui est, il faut le dire, plutôt implicite dans le jeu.
Peut-être je vais chipoter (car c'est dans ma nature) mais là, les descriptions de combat ont été focalisées sur Arioch, ce qui est une bonne chose vu qu'il s'agit d'un chapitre à elle... Cependant, l'enjeu est encore une fois la défense d'un sceau et encore une fois, on dirait que tu as voulu abréger la narration du combat de Caim.
Mais bon, là sur ce chapitre, j'aurais envie de dire que ça se justifie vu qu'Arioch est à l'honneur.
Représenter la scène de défense d'un sceau par Caim se fait vraiment sentir là. Forcément, le mieux serait de le faire dans le tout petit chapitre 9.

Séquence faute :
"Déesse Furiae. Maître Caim, votre frère, est partit au front…"
> est parti

"les rayons doré du soleil"
> les rayons dorés du soleil / les rayons du soleil doré

"Cesses tes propos ennuyeux et prépares-toi au combat"
> Cesse / Prépare (pas de s pour les verbes du premier groupe à l'impératif)

"Nous devons aidez les femmes et les enfants ! s’enhardit Léonard."
> devons aider (ouch)

"Caim et sa créature avaient déjà planifié"
> Je te l'ai déjà dit, ça, ça me choque.
Leur relation ne peut pas être représenté de cette manière, c'est plus "Caim et la créature".

"de nombreux effectifs avaient été dirigés contre le temple"
> Fomulation maladroite : "déployés au temple"

"Léonard se battait pour venir en aide eux autochtones"
> aux (ouch ouch)

"L’ardent Salamandre et la limpide Ondine avaient jaillit de son corps"
> avaient jailli

"lorsque Arioch eut terminé de massacré le dernier soldat à sa portée"
> massacrer

"Les femmes et les enfants rescapés l’observèrent leurs sauveurs avec suspicion."
> observèrent leurs sauveurs (l' en trop)

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Chapitre 16

Vive la stratégie ! Pas mal de petites choses inédites qui s'inscrivent dans la logique des choses.
En tant que déesse, Furiae pressent les évènements et cela l'accable davantage. Peut-être manque-t-il une petite description du fardeau qui s'alourdi. C'est indiqué bien entendu mais pas vraiment comment la déesse le vit, comment cela la pèse, les sensations qu'elle en a.

Séquence faute :
"Le le monde est-il l’enfer ou l’enfer est-il le monde ?"
> Le

"Son esprit était trop profondément ensevelit"
> était enseveli

"sous la rage et la frustration causés par l’échec"
> causées (rage/ frustration = féminin pluriel)

"pour défier l’infinie"
> infini

"il avait réalisé à quel point le dont de la parole était cher"
> don (ouch)

"il se jura à lui-même que lorsque se terminera l’instant de la grande bataille"
> Gné ? j'imagine que cela signifie : "qu'à l'issue de la grande bataille"

"« Tes rêves de vengeance te conduiront à ta passion »"
> Gné ? "te conduiront à ta perte" non ?
> Un point en fin de phrase

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Chapitre 17

Que de belles descriptions dans ce chapitre !
Si je prends le point de vue d'une personne ne connaissant pas le jeu, il n'est pas évident de considérer Seere comme l'un des jumeaux de la famille. On le comprend difficilement vers la fin, ce qui oblige à la relecture du chapitre. Et là on comprend que la décadence de la région s'est opérée en 6 ans, l'âge de l'enfant.
Pour plus de clarté, peut-être faut-il faire un petit ajout dès la première mention du nom Seere, dire qu'il est l'un des deux jumeaux.

Séquence faute :
"la puissance d’un combattant aguerrit"
> aguerri

"S’ils apportent le malheur veuillez les occire de cette lame."
> pas de faute mais une petite virgule : "malheur, veuillez"

"Ce sort funeste n’épargna pas le village de Seere."
> Pas de faute mais pour marquer le fait qu'on est dans le présent, des espaces avant cette ligne serait bien.

"que des crânes broyés desquels avait jaillit la cervelle…"
> avait jailli

"lorsqu’il aperçu à l’angle d’un rocher un amas de chair qu’il reconnu comme la dépouille de son père."
> aperçut / reconnut (mince... il manque des t)

"par de petit mouvement timides"
> petits mouvements

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Chapitre 18

Huhuhu ! Bon chapitre ^^ J'me suis bien marrée à le lisant.
Plus sérieusement, le petit truc entre Arioch et Leonard ne me pose pas de problème bien que je me demande comment ils ont pu arriver à ce genre de relation. En ce qui me concerne, Arioch et Leonard sont focalisés sur la même chose (les enfants) à différents degrés. Je vois mal Arioch s'adonner aux plaisirs de la chair avec un "homme-épave". Elle est barge en même temps alors elle n'agit pas avec cohérence. Ca va passer si c'est bien tourné.

Belle description de l'endroit... Je trouve que tu n'insistes pas assez sur le calvaire de Furiae : là , elle tremble et fait des cauchemars. J'aurais envie de dire que des gosses ont le même problème. Je pensais à quelque chose de plus "hard" (non, pas raide ^^) que ça la déchire intérieurement, qu'elle perde pied parfois, qu'elle voit le chaos, le ciel pourpre, que le froid s'insinue en elle comme si elle était déjà morte. (sadique ? oui, je sais ^^)
Sa situation est désespérée mais son état ne semble pas l'être ici. Qu'elle le cache aux autres passe encore mais on pourrait en profiter quand même non ? ^^

Beau combat ! Même Inuart a presque l'air classe. On ne pige pas trop que Verdelet est limite éventré par le coup d'Inuart (One-shot huhuhu). Le fait que Furiae perde connaissance pourrait être imputé à la charge du sceau, cumulé au stress immédiat de la situation. A moins qu'Inuart ait si mauvaise haleine que ça... ^^

Oh ! Il faudrait expliquer clairement que les hommes de l'Union qui étaient présents au désert, sont (j'imagine) en marche pour la prochaine grande bataille prévue. Au moment où tu mentionnes les vivres par exemple : "Avant son départ pour se rendre aux plaines jouxtant les montagnes Cobalt, lieu de la bataille décisive, l'escouade de l’Union leur avait fourni tentes et vivres"

Séquence faute :
"Tant pis si ces terres étaient dangereuses et malveillantes, elles constituaient le seul endroit"
> Maladroit je trouve
"Faisant fi de la dangerosité et de la malveillance de ces terres, elles...."

"L'escouade de l’Union leur avait fournit tentes et vivres"
> avait fourni

"Bien évidemment, cela avait provoqué l’hystérie de son sylphe"
> C'est comme pour les t, je radote pour les possessifs sur les créatures pactisantes.

"A l’horizon se dessinaient par de grands monolithes qui semblaient"
> enlever le "par"

"Il se laissa glisser du dos de son dragon et se reçu en soulevant"
> reçut

"Ma faiblesse a disparue"
> disparu (ouch)

"Les deux hommes et leur dragon se livrèrent"
> leurs dragons / les dragons

"Furiae se débattait mais Verdelet la tenait bon."
> "bien" pas "bon"

"Le dragon noir d’Inuart avait saisit le dragon rouge"
> avait saisi

"Du sang qui ruisselait en cascades"
> pas utile le s

"Caim prenait appuis sur son épée"
> appui
Cyberus Bédouinus Faischius Misanthropus: la Huitième Plaie du Web.
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Bdouine
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Re: Drakengard en roman : commentaires

Message par Bdouine »

Fichtre ! Un double post ! Je n'ai pas vraiment le choix, je n'ai pas envie d'étaler davantage le post précédent.

Chapitre 19

Un chapitre qui semble en effet un peu vide. Il faut rappeler que le chapitre précédent était très mouvementé et le changement de rythme joue grandement dans le "ressenti vide" qu'on a là.
Alors alors... Je me lance directe dès la première lecture : après une phase de déprime (pour résumer maladroitement), ils étaient en train de s'organiser pour la suite mais Seere, qui avait lu le scénario et qui passait purement par hasard (vive la référence ^^) les a interrompus.

On ne comprend pas trop ce qui arrive à la fin du chapitre, sans doute est-ce volontaire, en gros : on a le même point de vue que les personnages sur place. (=un gros rocher se pointe) Forcément, c'est Golem mais pour les gens qui ne connaissent pas, c'est très limite niveau compréhension à mon avis.
D'ailleurs, pourquoi Verdelet n'aurait pas repéré le duo Seere-Golem plus tôt ? Il sent les pactisants à distance, non ? La blessure justifierait que sa perception si affûtée d'habitude soit out ?

Les raisons sur le "pour ou contre faut-il se lancer à l'assaut de la capitale pendant l'ultime bataille" ne sont pas assez développées. D'ailleurs, les priorités du dragon sont étranges à mon avis....
Pour l'assaut de la capitale :
- L'Impératif de retrouver Furiae avant que l'Empire ne lui fasse du mal.
- Le fait que la capitale sera plus accessible car les soldats seront sur le champ de bataille.
Contre l'assaut :
- Même si Furiae est retrouvée, ça n'aura pas de sens sur le long terme si l'Union perd.
- Même si Furiae est retrouvée, si Inuart est là, il n'y aura aucun moyen de la récupérer !!! *important*
Ils ont été anéanti par Inuart. (qui ne s'est pas fatigué dans le combat) Caim s'interroge sur les motivations de l'homme possédé et mais rien d'autre ? Le traître est surpuissant, au minimum, le dragon devrait s'interroger sur le pourquoi ils ont été battu aussi facilement.
Il faut des mesures pour parer ce nouvel ennemi car même si par chance ils récupèrent Furiae, ils ne pourront pas la garder bien longtemps. Inuart se pointe et c'est fini.
En outre, le groupe, Verdelet notamment, devrait aussi s'interroger sur le cas Inuart. Il pourrait ici tenter d'expliquer comment il a pu être envoûté (usant ses faiblesses directement liées à la déesse) si son envoûtement accroît sa puissance (en + de son pacte).
Après tout, c'est quand il se libère de l'envoûtement qu'on le recroise et là, on le bat... sa possession doit jouer un rôle. (à moins de compter l'évolution du dragon rouge dans l'équation)


Passons... J'aime bien le fait qu'Arioch tente de combler le vide dans son ventre, l'idée qu'elle veuille constamment dévorer des enfants pour "se remplir" (s'unir/fusionner). C'est discret mais bien placé.
La persécution du Sylphe est très amusante à imaginer. Leonard qui croit encore son partenaire et se ramasse lamentablement... huhuhu ^^
La métaphore filée sur l'influence de la haine sur Caim est intéressante et bien construite mais je n'aurais pas utilisée le champ lexical végétal perso. J'aurais penché pour tout ce qui est soif/fluide-sang/poison jusqu'à la dépendance.

Dans l'ensemble du chapitre, peut-être manque-t-il un peu de description : en échec, on a tendance à ruminer un peu. Caim le fait un peu, le dragon rouge pas du tout, Verdelet non plus... ça manque.
Verdelet flippe sur sa risible conviction religieuse mais il devrait avoir une phase d'apitoiement style : on est condamnés, ils ont la déesse, on va mourir, j'ai failli --- je ne mérite pas d'être évêque... Puis une phase de calcul : situation Inuart ---- plan futur...

Un passage génant pour moi : Caim portant assistance au dragon pour limiter sa douleur (à lui-même, osef le dragon bien sur ^^). Je comprends la logique, c'est très cohérent donc si ça colle avec l'image que tu as de Caim, tant mieux.
Perso, dans les situations d'échecs, j'imagine Caim un peu maso. Il ne va pas vouloir réfléchir sur les raisons de l'échec, il va s'empresser de s'accrocher à sa rage et donc naturellement supporter la douleur, vecteur de davantage de rage, réveillant la vengeance.


Séquence faute :
"Tu aurais été tué, et je l’aurai été aussi..."
> aurais (conditionnel aussi, pas futur)

"ce sale traite…"
> traître

"Et je l’éprouvai, moi aussi."
> éprouvais (imparfait snif)

"Le fait qu’elle soit ta sœur ne justifie par cet amour"
> ne ... pas

"il avait lui-même prit le plus grand soin"
> pris

"elle avait prit la forme d’une plante"
> pris

"Le sylphe était assit sur son épaule."
> était assis

"un laquai de l’Empire"
> laquais (avec un s, c'est le nom / sans s, c'est le verbe laquer)

"− Si la déesse à été conduite à la Capitale Impériale, murmura Léonard, nous ne pourrons jamais la récupérer, là-bas !"
> a été conduite
> Là-bas n'est pas utile.


--------------------------------------------------------------
Chapitre 20

Un chapitre quelque peu frustrant sur certains points que je m'en vais détailler sur le champ. Par avance, désolée pour le désordre car j'écris tel que ça me vient à l'esprit.

Bonne description de l'enfant quoiqu'un peu trop élogieuse à mon goût, ça m'a donné l'impression que le narrateur est charmé. Je préférerais passer ça sous la perspective d'un des personnages, Léonard ou Arioch.

Seere cherche à savoir si le groupe a vu sa sœur sauf que le mioche ne la décrit pas. Alors forcément, dans sa tête d'enfant, l'univers tourne autour de lui... tout le monde doit le connaître, ainsi que sa sœur. N'empêche que c'est pénible ! Ya pas un adulte dans cette scène qui pourrait lui demander à quoi elle ressemble...

On pourrait faire un parallèle intéressant quoique risqué sur Caim et Seere, car à ce stade, ils ont un point commun : Ils cherchent leurs sœurs. A savoir si le dragon pourrait le provoquer la-dessus ou que le sylphe s'y mette.

Verdelet, totalement absent ici, il balance une phrase et se tue. Il est choqué mais pas encore muet il me semble. Ce que j'évoquais auparavant, sur le fait qu'il aurait du sentir le duo Seere/Golem se pointer, il pourrait s'en étonner ici.
Il pourrait même le justifier par le manque d'intelligence du Golem, le flot de pensée étant bien différent pour ces deux-là.

L'arrivée de Golem a interrompu une discussion importante... Verdelet et Léonard pourrait se battre un peu dessus par exemple.
-Verdelet pourrait être contre la présence de l'enfant, prétextant la dangerosité de ce qu'ils ont encore à accomplir. (en fait, il cacherait une petite peur envers le Golem) Qu'il n'est pas question de mettre un enfant en danger, religion oblige.
-Léonard pourrait le convaincre en soulignant que l'enfant a pactisé, que le Golem pourrait servir au combat. Qu'on ne peut pas le laisser seul, qu'il semble déterminer à rechercher sa sœur (et tente vainement d'avoir le soutien de Caim, car il devrait comprendre aussi)
Et surtout, une bonne attaque personnelle sur Verdelet : on sauve les efles folles mais pas les enfants ?!! (même le sylphe pourrait être impressioné par la remarque)


Séquence faute :
"Ses paluches étaient grossières"
> familier comme terme

"enfants de Gaia"
> Gaïa

"moi et Golem repartons…"
> Golem et moi
(c'est un enfant éduqué tout de même, à moins de faire ressortir un petit côté égocentrique dans ce genre de phrase)

"La poitrine de Caim s’affaissa tandis qu’il se voila la face."
> Euhhh moi pas comprendre l'idée là... mais je me suis marrée.

"Je t’aiderais à retrouver la sœur que tu cherches !"
> cette sœur (plutôt)

"Son sourire était détraqué, parcourus de spasmes."
> parcouru (son sourire donc singulier)


--------------------------------------------------------------
Chapitre 21

Alors, le fameux chapitre ! J'ai été quasi-conditionnée pour penser qu'il serait d'une nullité affligeante... au lieu de ça, il n'est pas mal. Alors oui ! La liberté prise sur Arioch... c'est juste sur un petit paragraphe, juste une tentative de rien du tout car elle est plutôt obéissante. Ce n'est pas une mauvaise séquence mais je l'aurais placé plus tôt. Je dirais que c'est un passage presque sain pour une folle qui veut s'unir à des enfants en les dévorant.
Maintenant que Seere est dans le groupe, elle devrait être focalisée sur lui. Le rapprochement, à ce moment-là, est une initiative étrange de la part d'Arioch vu la récente venue d'un magnifique petit enfant aux yeux d'émeraude.

Plusieurs autres choses :
- Disparition progressive de Verdelet...
Je ne l'aime pas non plus. C'était très limite dans le chapitre précédent mais là, l'absence totale...
Lui c'est le "sage", enfin le dicto mouvant... Il est utile dans les explications techniques, il pourrait balancer ses connaissances sur Golem.

- Golem fait quoi là ?
Même s'il dort ou qu'il est en veille, faudrait le montrer. Style comme l'intro du jeu, avant de "s'activer" on avait l'impression que c'était juste un tas de pierre tagué. (rhaaa, ces jeunes délinquents !) Une petite description quoi... aller !
Genre quand il dort, son esprit s'enfonce dans la terre pour revenir à son origine, un truc comme ça.

- SOS enfant en danger.
Personne n'a re-précisé à Seere qu'il fallait faire gaffe avec Arioch au fait...

- Le sylphe ? parti faire ses emplettes.
Si "mon" Leonard était là, il aurait pu requérir la possibilté de voir au travers de son partenaire pour voir où il se trouve.

- Caim le haineux.
Alors ok, le dragon est provocateur, ça justifie les débordements... mais bon, pourquoi autant de haine envers Seere ? C'est un pleurnicheur qui prie les dieux ok, mais il a 6 ans (je n'arrive pas à croire que je prends la défense de ce mioche, surtout contre Caim)
Bon, la frustration de Caim sur sa récente défaite pourrait justifier autant de venin sur l'enfant.

- Plan futur ?
Le groupe récupère mais toujours pas de plan d'action pour Furiae ou la participation à la bataille. D'ailleurs, ça me vient maintenant mais perso, j'aurais fait déplacer le groupe. Inuart est venu et les a massacré, il pourrait donner les informations aux soldats impériaux pour achever le travail.

Ajout de scène :
Pendant le cauchemar de Léonard, Verdelet pourrait être avec l'enfant, près du feu. L'enfant pourrait s'inquièter pour Golem, tas de pierre immobile qui ne répond pas. L'évêque pourrait lui expliquer pourquoi, qu'il ne doit pas s'inquiéter. Rappeler qu'il ne faut pas s'approcher d'Arioch.
Finalement Verdelet va faire dodo dans sa tente (encore heureux) parce qu'il est blessé et qu'il veut récupérer. (bon débarras)
Arioch en profite, vu qu'elle n'est plus sous surveillance pour grimper sur Leonard.


Séquence faute :
"Il l’ouvrir d’un geste délicat"
> ouvrit

"une certaine tristesse dans l’était d’esprit de Seere."
> état

"− Tu es inquiet à propos de ta sœur ? demanda-t-il. Comment l’as-tu perdue ?"
> Bah j'étais au marché et j'ai perdu des mains en rentrant à la maison... (=c'est la sensation que la phrase m'a donnée)
"Comment avez-vous été séparés ?" plutôt.

"Je n’ai jamais comprit pourquoi"
> compris

"où était passé Manah"
> était passée

"Il laissa une larme ruisseler le long de sa joue et s’écraser sur une page de son livre."
> et blam ! splash !!
> "imprégner une page de son livre" (sans raideur ajouté)

"Lui aussi à perdu sa sœur..."
> a perdu

--------------------------------------------------------------
Chapitre 22

Maintenant que je suis réveillée... ^^ On se lance.
C'est un chapitre sympa et rapide à lire. Ça s'enchaine bien entre les dialogues et les petites descriptions.
Je tique sur le fait que Caim traîne la patte pour retrouver la frangine de Seere. Perso, j'aurais tendance à penser qu'il irait vite pour être débarrassé de cette recherche.

Dans un premier temps, je me suis demandée pourquoi Seere n'était pas dans la main du Golem pendant la marche. Mais comme le gosse est à terre, c'est plus simple pour enchaîner sur la possession du Golem.
Je me trouve de plus en plus de points communs avec le sylphe. ^^ Je ne sais pas si c'est une bonne chose.

Si on tente de détailler un peu plus ce chapitre, je miserais sur Caim et le dragon.
Tu évoques rapidement la difficulté du dragon à se déplacer sur le sol, surtout que le chemin semble étroit... Il est possible d'aller plus loin. Peut-être que Caim pourrait se consoler de cette situation en se moquant un peu de son partenaire, créature des airs, en le voyant maladroitement avancer. Le dragon a tendance à titiller Caim alors pourquoi pas l'inverse. Le dragon voulait prendre ce chemin par soucis de prudence. Caim qui voulait passer par la voie des airs, pourrait s'en donner à cœur joie, dans le style : tu voulais un passage moins risqué, te voilà récompensé.


Séquence faute :

"Caim y plongea ses mains reliées en coupe"
> ses mains jointes (plutôt)

"Il avait sentit la présence de la créature s’affirmer bien avant qu’elle n’apparaisse."
> avait senti

"Mais le dragon ne le laissera pas prendre la décision de son chef."
> Je pige bien le truc mais ça pourrait être pris au pied de la lettre.
"cette décision seul." (plutôt)

"Le parcourt était abrupt"
> parcours (snif)

"Seere bondit et exclama un cri de douleur."
> Je n'ai pas compris ce qui se passait. Golem le frappe et le gosse esquive ? Car là limite, j'ai l'impression qu'il saute et qu'il se vautre, se faisant mal au passage sans que le Golem y soit pour quelque chose.

"Au moins, elle aura servit à quelque chose !"
> aura servi

"Je suis déçue !"
> déçu (c'est le sylphe)


--------------------------------------------------------------
Chapitre 23

Mince alors !! Ils ont sauvé le mioche...
J'ai passé un bon moment à lire ce chapitre. A part le combat contre les gobelins un poil expédié, c'est un perfect.
Ce n'est pas un combat très intéressant en même temps, pas la peine d'essayer de le détailler, je préférerais que tu développes les combats pour la survie des sceaux du désert et marin.
Je ne vois rien à ajouter de particulier. Limite, Verdelet pourrait balancer une phrase supplémentaire sur le fait que désormais seule Furiae porte le monde entier sur ses épaules, combien de temps l'empire compte-t-il la garder en vie ?

Le passage avec les gobelins, le désespoir de Seere, c'est stimulant à lire, facile de se faire une idée de la chose car les descriptions de la scène sont précises. L'intrusion d'ondine et salamandre dans le chef gobelin est amusante. Ils bossent un peu aussi ces deux-là. ^^


Séquence faute :

"Les Sommets Pourpres cachaient dans leur sein la ruine la plus ancienne des Terres Arides et Gelées."
> au singulier, comme ça, c'est assez étrange à la lecture.
"le vestige le plus ancien" plutôt

"Saches que je suis le maître"
> Sache

"alors qu’autour de lui ses autres continuaient"
> les

"L’ombre de la lumière se voila."
> Gné ?

"Nous venons récupérer Seere, déclara Léonard."
> Pas de faute ici mais je pense qu'il serait plus pertinent de mettre "l'enfant". Ce n'est pas comme si le gobelin savait le nom de sa proie. Un gobelin c'est un peu con alors faisons en sorte qu'il comprenne tout de suite.

"ton épée ensanglantée a enfin servie à sauver une vie."
> a enfin servi

"Alors finalement il à été…"
> Alors finalement, il a été…
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Bdouine
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Message par Bdouine »

Chapitre 24

Alors ! Je te le dis, ce chapitre est plein de potentiel. Perso, il m'a bien plu vu que la lecture est très agréable. J'ai senti que t'as galéré dessus (argh les fautes). Le truc, c'est que tu as tronqué des choses dans cette bataille, bataille qui est essentielle. Zapper les combats sur la défense des sceaux était limite mais là, c'est presque scandaleux car les choses retirées portent directement atteintes au caractère désespéré et à la situation dramatique de cette bataille.

- Pas de cyclopes ?!!! Je boude. Quand je repense à la vidéo... L'armée de l'Union qui charge et soudainement, des géants s'élèvent de derrière les collines... Sérieusement, je ne veux pas être dans la tête des soldats terrifiés. Déjà, ils savent que les soldats de l'Empire sont ensorcelés, qu'une magie diabolique les protégent alors des gros monstres par dessus l'marché, c'est le pompon !

- Pas de morts-vivants ?!!! Je boude. Quand je repense à la vidéo... Après que d'énormes boules de feu ont transformé le champ de bataille en vision d'horreur, que des soldats ont été littéralement soufflés par les explosions, les quelques survivants ont en face d'eux de terrifiants squelettes armés.

Ce que tu as oublié d'autres dans ce chapitre :
- Ce que fait Verdelet pendant la bataille.
- Montrer le soulagement/inquiétude de ne pas voir Inuart présent.
- Idée pour le déchaînement du ciel : Verdelet lance des sceaux temporaires de protection sur des objets (initiation aux clés de dr2). Les soldats proches des objets survivent à l'enfer. Il peut s'être entraîner à cette pratique dans un des chapitres précédents où il est assez absent. Il envisage cette méthode car il ne veut plus être blessé comme il l'a été face à Inuart.

Donc ! Ce chapitre est à la fois trop long et court. Long, en quantité et court en ce qui concerne le déroulement de la bataille. Je te suggère de faire plusieurs chapitres. Ya pleins de choses à dire, surtout si on tente de tout y inclure. A partir du moment que tu t'autorises plusieurs chapitres sur cette bataille, le rendu sera encore meilleur.
Tu tentes l'aventure, il y a plusieurs façons de faire afin de créer les chapitres :

- En reprenant ce que tu as fait là : deux chapitres.
Un pré-déflagration et un chapitre post.

- En fonction de la chronologie, du temps.
Ce qui est à mon sens, hasardeux. Car dans le même chapitre, il faut repasser du combat au vol, à celui au sol. Ça va donner des répétitions lourdes dans les chapitres.

- En fonction du type de combat et/ou séquence.
Ce qui est le plus simple et pertinent.

Attention, ce que je te balance ci-dessous, c'est ce que j'aurais fait mais ce n'est qu'une idée hein. J'espère juste que ça t'inspire un peu sur comment tourner ton chapitre.

:arrow: Premier chapitre : Combat au sol.
Introduction de la bataille
Point de vue de Verdelet au début pour la description des armées, etc...
Inuart n'est pas là, c'est bon signe pour cette bataille mais pas pour la déesse.
Pourquoi pas envisager de commencer ses incantations pour les sceaux de défense, demandant à Oror de placer des bannières à des endroits précis.

Début combat
Les points de vue des combattants sont à l'honneur.
Les cyclopes surgissent, le dragon va s'en occuper. -ellipse sur ce combat-
Baston au sol : monstres, soldats.
Chacun participe : reprendre les descriptions des actions de chacun en action.
Evoquer la chute des cyclopes sur les troupes, le dragon signale la future chute pour que les soldats se déplacent en conséquence. Léonard et/ou Verdelet peuvent relayer le message aux soldats.


:arrow: Deuxième chapitre : Combat au vol.
Dragon vs Cyclopes
Point du vue du dragon obligatoire.
Communique avec Verdelet sur comment les vaincre.
Dès qu'il en terrasse un, le dragon prévient pour l'évacuation des troupes en dessous.

Dragon vs vaisseaux & créatures impériales
Redescend en rase-motte pour dégommer les balistes. (je pense au passage où Caim pensait bien faire pour protéger le dragon)
Le dragon sent quelque chose dans l'air, comme une ombre, un chaleur (au choix)
Redescend quand l'armée impériale se retire.
Le groupe se rassemble autour d'une bannière. Les soldats s'occupent des blessés et achèvent les mourants.
Satisfaction mais mauvais pressentiments.

:arrow: Troisième chapitre : castatrophe.
Apparition de la première boule de feu.
Le dragon prend Caim sur lui et s'envole. Instinct de survie oblige.
Point de vue de l'un des deux sur le spectacle : souffle des explosions, paysage détruit etc...
Redescend auprès du groupe qui a eu chaud mais le sceau de défense les a protégé. Les sceaux sont détruits.
Verdelet ordonne aux hommes de se rassembler.

Apparitions de morts-vivants.
Total désespoir de Verdelet devant cette vue.
De nouveau, baston (plus court), avec le dragon en rase-motte.
Menace immédiate vaincue, la forteresse céleste de l'empire apparaît.
Décision sur "y aller ou pas" et "qui y va".


Séquence faute :
"Le géant de pierre recueillit son petit protégé aux creux de sa main"
> au creux

"− Quel est ton nom ? demanda le dragon.
L’homme frappa sa poitrine du poing :
− Oror !"
> Quelle révélation inattendue !! ^^ Plus sérieusement, il n'y a pas de faute mais là, je n'ai pas aimé le geste : plutôt que de frapper sa poitrine du poing tel un gorille, un salut militaire serait, à mon sens, plus approprié.

"Le silence retomba avec apréhenssion"
> appréhension (massacre du mot ^^)

"Léonad, Arioch et le Golem de Seere en firent de même."
> Léonard

"l’armée qui à truscidé tes trois petits frères chéris"
> a trucidé (combo)

"C’est pour ça que tu as interrêt à te battre"
> intérêt (combo x2)

"Le soleil s’était parfaitement afirmé"
> affirmé

"Les coups déments qu’elle assénait de sa hache abbattaient tous ceux"
> assenait / abattaient

"La pierre de son corps se colorait progressivement de rouges."
> rouge

"pour le dragon qui attaquait en rase-mottes."
> rase-motte

Toi qui ne vis que pour le meurtre, cet endroit doit être pour toi le paradis »"
> Répétition qui dérange. Le "pour toi" peut dégager.
> Pas de point non plus. C'est un flot de pensée, donc c'est sans doute volontaire.

"Les amas de corps rompus d’entassaient"
> s'entassaient (ton doigt glisse ^^)

"La bataille était formidable et dura longtemps."
> Pas de faute mais plutôt une suggestion : formidable et interminable.

"mais le dragon les abattaient un par un."
> abattait (sujet > dragon)

"L’Empire va-t-il enfin battre en retraite ? dit le dragon en un sifflement incrédule. Vais-je assister à la victoire ?"
> Pourquoi le dragon dit ça ? Pourquoi parle-t-il d'assister à la victoire, il va claquer avant ? Je vois ça + dans la bouche de Verdelet.

"Le dragon emporta le groupe des humains dans ses griffes et s’élança dans le ciel."
> le groupe tout court.

"le métal liquéfié avait prit la forme de leur visage avachis"
> avait pris / avachi

"Elle était racrochée à un ensemble déjeté"
> raccrochée

"Le Jugement dernier ! La tempête de feu s’est abbatu sur l’Union"
> abattue (sujet > tempête)

"Le sang de la déesse à été versé ?"
> a été versé

"Verdelet se démenait, comme prit de démence"
> pris

"Nous ne pouvons plus rien faire, le futur est mort ! La déesse est morte !"
> pour éviter la répétition, "perdu" serait mieux.

"L’Empire à défié la création et maintenant tout est perdu"
> a défié

"Les esprits Salamandre et Ondine firent parler le son de leur voix mystique :"
> Ce n'est pas bien d'abuser de l'encens ! ^^
"Les sons mystiques venant des voix de Salamandre et Ondine retentirent :" (en essayant de garder la plupart des mots)

"maugréa le dragon avec apréhension."
> appréhension (tu y étais presque cette fois-ci)

"Un être suprême est responssable de tout cela"
> responsable (snif)


--------------------------------------------------------------
Chapitre 25

Petit chapitre intéressant où enfin Furiae a l'air souffrir, à juste titre, de son statut de déesse. Tu ne peux pas vraiment le rallonger puisqu'il est complet en rapport à la scène du jeu.

Perso, même si j'ignore de quelle façon précisément, j'aurais bien tenté de faire dialoguer Manah et Furiae.
Furiae n'est pas une combattante donc même avec une dague, elle ne penserait pas à fuir par elle-même. Par contre, je l'aurais bien vu tenter de ramener Inuart à la raison. Même devant la terreur ambiante, elle sait que son frère viendra, il l'a déjà fait auparavant donc la peur ne la paralyse pas totalement. Peut-être qu'un brin de curiosité, mélangé à du courage pourrait lui donner la force d'adresser la parole à l'enfant habillée de rouge dans la pièce.
Ça parait un poil risqué quand même... Je ne supporte pas les princesses qui attendent d'être sauvées alors même si ce n'est pas grand chose, j'aurais voulu que Furiae tente sa chance. Le truc c'est que ça ne colle pas au perso.

Séquence faute :
"Vainement elle avait recherché une issue au cœur des méandres plutoniens qui l’avaient bordée de leur linceul. Mais le dépit avait plongé tous ses espoirs dans la stérilité."
> Vainement, elle avait recherché
> ,mais

"Ou était Caim ?"
> Où

"Elle apella son nom dans les ténèbres."
> appella (snif)

"Son appréhenssion s’exacerba en même temps"
> appréhension (snif x2)

"Des colonades s’alignaient le long de hautes baies vitrée."
> vitrées (>baies)

"Parmis toutes ses colones de pierre sombre, une d’entre elle semblait avoir été taillée dans un cristal bleuté."
> Parmi (invariable, on chipote quand c'est "hormi(s)")

"Elle cligna des paupières et c’est alors que, considérant les vastes..."
> Concordance des temps : 'c'était/ ce fut'


--------------------------------------------------------------
Chapitre 26

Un chapitre très intéressant.
Tout d'abord, personnellement, j'aurais lié les phrases courtes de cette manière :

Furiae va bien, tout va s’arranger... Le sceau l’écrase... Elle meurt...
Inuart est forcément avec elle... Il la protège... Inuart est un traître ! Il a rejoint l’Empire et pactisé avec ce monstre !
Elle se fait plus proche... Elle est encore vivante... Elle s’affaiblit encore... Elle mourra d’une seconde à l’autre !


Ne plus être en mesure de former des pensées complexes, c'est la preuve d'un stress évident. (passer des exclamations aux suspensions aussi)
C'est à placer, à mon avis, dès qu'il s'engage dans les salles vides. Ces salles sont vides alors qu'il se rapproche de sa sœur ce qui n'est pas normal. La déesse devrait être gardée. Comme il n'y a plus de soldats à vaincre, il n'est plus en mesure de se réfugier dans la colère et la violence. Il ne lui reste plus que l'inquiètude pour sa sœur et l'écho de ses pas en traversant les étranges salles de la forteresse.

Séquence faute :
"Le dragon s’y engouffra en empreintant le passage"
> empruntant

"C’est la conséquence de la destrution des sceaux"
> destruction

"Elle plongea en piquet et percutta le sol en l’éventrant de ses griffes"
> percuta

"Je sens une odeure de sang ! Une odeure de sang !"
> odeur (combo)

"Le petit Seere s’était emparé du coutelas de son père, près à prouver au monde"
> prêt

"Ne t’occupe pas des soldats qui nous envahissent !"
> Vu que c'est le groupe qui envahi la forteresse, c'est un peu comique.
"submergent" plutôt

"Caim s’élança dans le maz-de-marée d’ennemis hurlants."
> raz-de-marée

"Ta seule alliée est ton arme. ! »"
> . ou ! mais pas les deux.

"Il courru. Aussi vite que possible."
> courut
> Je ne suis pas adepte des phrases sans verbe ou même sujet. Limite tu peux mettre des points de suspension pour pseudo-lier ces deux fragments.
"Il courut... aussi vite que possible..."

"Il n’y avait plus aucune présence alentours."
> un petit ajout ne serait pas de trop : aucune présence de soldats aux alentours.

"Du couloir central se déroulait un grand tapit rouge"
> tapis

"Il s’élança sur le tapit de velours."
> tapis (combo)

"Il crut percevoir dans le plus profond se ses chairs"
> de

"il resta coulé sur place."
> cloué (mdr Caim coulait sur place ^^)

"Il couru encore plus vite."
> courut (combo)

"La panique se répendit subitement en lui"
> répandit

"Inuart est un traitre."
> traître
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Message par Bdouine »

Chapitre 27

En ce qui me concerne, c'est un chapitre inégale. Je tique lourdement sur les pensées de Caim l'instant après le dernier acte de Furiae. Selon moi, c'est le vide total à ce moment-là dans sa tête. Il est choqué et blessé par le geste de soeur mais c'est Manah qui le réveille de ce "choc". De la même manière, s'il se lançait dans une réflexion rapide lors de ce passage, ce ne serait pas pour comprendre les raisons de Furiae. Garde ça pour Verdelet. Je verrais plutôt ça : "j'ai encore échoué... ça s'est passé devant moi et je n'ai rien fait..." enchaînant directement sur la colère.
Forcément, ce que je pense là est tiré de l'idée que j'ai de Caim. Il n'est pas plus attentionné qu'Inuart ne l'était envers Furiae. Ils sont tous les deux profondément égoïstes. Sur le coup du choc, Caim pensera + à l'idée d'avoir échouer une nouvelle fois qu'aux souffrances de sa sœur. Il n'aime pas trop cogiter vu qu'il ne voit que ses échecs donc il préfère se défouler en tuant ce qui se trouve devant lui.

+ 1 pour le cri par contre.

J'aurais bien vu Caim s'interroger sur le fait que l'enfant serait la prêtresse quand il la voit pour la première fois.
Tout ce qui concerne Furiae, jusqu'à l'acte final, c'est nickel. J'ai eu une douche froide quand Caim pensait à Furiae et l'amour incestueux qu'elle avait pour lui.
Le reste du groupe qui arrive après la fête, pareil, c'est passe bien. J'aurais aimé voir Leonard flipper un peu en entendant la voix de la petite, demandant à Seere si c'était bien sa soeur. Il doit être plus sensible à la voix démoniaque que les autres. (un truc d'aveugle)

Le fait que Seere protège sa soeur, c'est normal j'aurais envie de dire mais ya un problème. La principale quête de l'enfant est de retrouver sa soeur, il met ça en suspens vu le boulet qu'il a été.
Le truc là, c'est dès que Caim part à la rencontre des germes, Serre suit le groupe, laissant sa soeur sans un mot. Je pense qu'il serait approprié de le faire parler ici : qu'il dise à Manah qu'il est content qu'elle soit en vie mais qu'il doit partir pour l'instant car il est redevable envers le groupe. Il ajouterait aussi qu'il reviendra la voir. Manah peut l'ignorer ou répondre méchamment, peu importe.

Séquence faute :
"le crâne engourdit de malaise"
> engourdi

"déglutit et aperçu dans la pénombre tout au tréfonds de la pièce"
> aperçut

"comme flagelée par le coup d’un fouet invisible"
> flagellée

"les mains crispée sur son cœur."
> crispées

"Puis il se releva et s’éloigna tête baissée, le pas trainant."
> traînant

"Furiae geignit et se ramassa d’avantage sur elle-même."
> davantage (c'est l'abverbe ici pas le nom 'avantage')

"La voix qui avait rit parla de son ton méphistophélique :"
> Formulation maladroite.
"La voix ricanante prit un ton méphistophélique"

"Le corps de la déesse se souleva comme porté par une main invisible et fut plaquée contre la colonne"
> fut plaqué (sujet > le corps de la déesse)

"Mais Caim était le bougeait pas."
> Imbroglio ici.

"Jai tellement honte ! sanglotta Furiae."
> J'ai / sanglota (Tu devrais avoir honte oui ! huhuhu)

"Elle chancela et aperçu les poupées"
> aperçut

"elle s’était plongé une dague dans le cœur"
> plongée

"Pourquoi s’était-elle infligé un tel affront ?"
> infligée

"Abandonne tout derrirère toi et reviens !"
> derrière

"L’elfe et Léonard étaient entré à leur tour."
> entrés

"Quoi ? couina la fée en voyant Seere"
> la fée ? le sylphe, c'est évident pour moi, peut-être pas pour les autres.

"Caim était abasourdit."
> abasourdi (il n'est pas le seul à l'être ^^)

"Manah avait enfouit son visage"
> enfoui

"Sois forte Manah, lui chuchotta-t-il."
> chuchota

"Ce que Seere tentait de lui faire entendre ne l’intérressait pas"
> intéressait

"Je te mets au défit d’essayer !"
> défi

"Le visage avachit"
> avachi

"qu’il fera mourir cette enfant "
> Etrange formulation.
> "Qu'il tuera cette enfant" tout simplement.


--------------------------------------------------------------
Chapitre 28

Ce chapitre était appétissant. ^^ Je l'ai dévoré avec un certain plaisir car c'est le début de la fin... Vive le chaos !
La déchéance d'Inuart est excellente. Manah me parait un peu effacée ici mais je ne vois pas trop ce qu'elle pourrait faire de plus.
Le groupe constatant le chaos : cette scène m'a rappelé quelque chose. (La mort n'est pas la fin de l'espoir.) ^^

Deux choses :
- A la fin du chapitre précédent, Verdelet fait une remarque mais là, il est absent. Il n'a pas un petit "Par pitié Caim, nous devons détruire les germes!" histoire de dire.
- Le dragon va-t-il passer à la 3ème évolution bientôt ? Si c'est le cas dans le chapitre suivant, je n'ai rien dit. De mémoire, il me semblait qu'il évoluait au niveau 3 quand tous les sceaux sont détruits... Le niveau chaos c'est à la mort de Manah...

Séquence faute :
"Courant comme un déchainé, Inuart s’élança vers le sanctuaire. Il était envahi par une foule de soldat aux yeux rouges."
> déchaîné
> vaudrait mieux lier les deux : "le sancutaire qui était..."
(J'ai cru un instant que c'était Inuart qui était envahi ^^')
> soldats

"Mais ce n’était que pour se voir plongé dans une réalité pire encore. "
> plonger

"La petite fille sourit innocemment à l’homme qu’elle à détruis."
> a détruit

"J’ai détruis le Sceau"
> ai détruit

"Ces mots en sang s’inscrivaient partout autour de lui. Tel un ordre implacable. L’odeur du sang avec lequel ils avaient étés écrits retournait les sens."
> été écrit
Ya plusieurs choses ici : "Tel un ordre implacable." à relier avec la précédente. Ensuite, la phrase qui suit est au pluriel, référence à "mots de sang" sauf que juste avant, on a "un ordre". Une petite réorganisation s'impose ici.
"L’odeur du sang avec lequel ils avaient étés écrits" > ils ont été écrits avec l'odeur de sang ?
Résultat possible : "Tel un ordre implacable, ces mots en sang s’inscrivaient partout autour de lui. L’odeur du sang qui s'en dégageait retournait les sens."

"soulever sa carcasse sous ses bras instable"
> instables

"Les larmes ruisselaient le long de ses joues blafardes, mouillant jusqu’à son cou, et la marque terrible de son pacte."
> Faut impérativement enlever la virgule ici. Tu peux même enlever le "et".

"Suis-je responsable… de ta mort ? sanglotta-t-il."
> sanglota-t-il

"Leurs corps carbonisé s’amoncelaient"
> carbonisés

"sous la violence du combat qui avait eut lieu,"
> avait eu

"Il y a déjà eut tant de morts !"
> a déjà eu
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Message par Bdouine »

Chapitre 29

On recommence ! GRRRR....

Donc, excellent combat au vol, facile à imaginer vu la description. Le fait que Caim remarque le changement de couleur des yeux d'Inuart avant d'apercevoir le corps de sa sœur m'a fait marrer quand même.
Si on admet que le dragon a une bonne vue, il aurait pu prévenir plus tôt Caim qu'il voit le corps de Furiae dans les bras d'Inuart. Vu qu'il se dirige vers la capitale, en direction des germes, il faut impérativement l'arrêter. Remarquant ensuite le changement de lueur dans les yeux, Caim est en rage car Inuart s'est libéré de sa possession mais il s'est réfugié dans son obsession.

La fin de ce chapitre me laisse perplexe. Inuart parle trop pour quelqu'un qui est à l'agonie. Si le dragon noir dit discrêtement à Inuart qu'il doit faire le mort pour le moment (ce qui n'est pas clair à mes yeux), il devrait faire ça plus tôt, histoire de regagner des forces.

Perso, pour cette scène, je vois un truc plus simple :
Le dragon noir balance une pensée style : <"Tu vas fusionner avec la déesse, dans la mort...">
Inuart, qui n'est plus sain d'esprit comprend alors : <"Rejoindre Furiae dans la mort">
Même si Caim, Verdelet et le dragon rouge entendent la pensée de Legna, il est évident qu'ils ne peuvent pas comprendre son véritable sens et la volonté d'Inuart de mourir parait plus logique.

Séquence faute :
"son amour impossible pour Furiae l’auront menné à la démence…"
> mené

"les formes hautes d’une cité battie par l’Empire."
> bâtie

"Caim avait le regard déformé par la haine, le dégout et l’incrédulité."
> dégoût

"Au cœur de cet amas de brulé s’exhaussaient toute l’arrogance de deux tours titanesques."
> exhaussait (sujet : toute l'arrogance)

"Mais elle n’était qu’une ruine !"
> Pas besoin de négation : elle était en ruine

"Pour survivre, concentres-toi sur ton désir de vengeance !"
> concentre

"Traitre à ton sang !"
> Traître

"le dragon d’Inuart exécutta une esquive imparrable et cracha son haleine enflammée."
> exécuta / imparable

"Il fondit et saisi le corps glacile de son adversaire"
> saisit

"Je te tuerais si tu m’empêche de la sauver !"
> empêches

"L’homme ne respecte vraiment rien !"
> Si tu parles de l'humanité, il faut un H (majuscule).

"Inuart se trainait vers la dépouille de Furiae"
> traînait

"La foi m’a aveuglée !"
> aveuglé

"Les mircles n’existent pas, rétorqua le dragon."
> miracles

"ça m’est égal, répetta-t-il."
> répéta

"Il se releva comme insuflé d’une force"
> insufflé

"Tout comme Inuart, Caim n’avait voulu protéger Furiae."
> sans n'

"l’humanité disparaitra"
> disparaîtra

"de protéger les Germes contre ceux qui chercheraient à fusionner avec elles…"
> tu peux enlever "elles"

"Grace aux Germes, la déesse va revivre ?"
> Grâce

"Les légendes disaient que les Germes de la Résurrections"
> Résurrection

"Le chaos s’instellera alors sur le monde"
> installera

"c’était lui-même qui était près à sacrifier le monde"
> prêt

"Laisses-moi mourir auprès de Furiae"
> Laisse

" il ne s’aperçu pas que l’éclat pourpre"
> s'aperçut


--------------------------------------------------------------
Chapitre 30

Le chapitre était très stimulant vu que j'ai lu le suivant tout de suite après. ^^
L'arrivée de Seere, Arioch et Léonard est un peu bizarre. Techniquement, ils étaient dans la forteresse céleste quant on les aperçoit pour la dernière fois. Téléportation ?

L'évolution du dragon rouge fait un peu super saiyan mais c'est bien tourné. L'instinct de survie les a contraint au pacte et ici, la synchronisation de leur volonté de survivre, le fait qu'ils ressentent ça en même temps et de la même manière déclenche l'évolution.
Le fameux concept d'évolution en fonction du danger est un poil modifié mais ça passe.

Séquence faute :
"cette sensation d’effrois était éprouvée par le dragon rouge"
> effroi

"Non, arrêtes ! Lâche-moi !"
> arrête

"Je sens uns odeure de brûlée"
> une / odeur / brûlé

"Les mythes planants sur leur race"
> planant

"L’une d’entre ces légendes annonce qu’à la fin du monde"
> Etrange formulation. "L'une de ces légendes"

"De son union avec les Germes renaitra le monde originel"
> renaîtra

"C’était ensembles que leur cœur battait"
> ensemble (invariable)

"Nous sommes ensembles"
> ensemble

"dans une explosion de lumière et il disparu"
> disparut

"il avait comprit le secret du cœur des humains"
> avait compris

"Ensembles, ils avaient vaincu"
> Ensemble

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Chapitre 31

Je lis goulument jusqu'à : "Arioch et Léonard étaient morts."
HEIN ?!! Je remonte un peu en arrière et je m'interroge... Arioch étrangle Seere alors qu'Ondine et Salamandre tourne autour d'elle. Elle se fait empaler rapido par Léonard, qu'elle aide au passage.
Qu'Ondine et Salamandre ne fassent rien, j'admets volontier car c'était comme ça dans le jeu mais c'est quoi le problème avec Leonard ?
Il est mort comment ? Il est emporté par l'explosion des deux partenaires d'Arioch ? Dans ce cas, pourquoi Seere n'a rien alors ?
Le sylphe ne dit rien non plus ? Pour un bavard, c'est un comble.

Si j'ai bien saisi, Manah perd subitement ses pouvoirs à cause du sort de Verdelet. Le miracle a bien lieu alors. ^^
Il aurait été difficile de décrire le combat contre la géante Manah bien que ça aurait permis d'asseoir la relation de Caim et Angelus.
Etrangement, le cache-cache avec Manah qui est aussi présent dans Dr1 parait moins tiré par les cheveux que ce qui se passe vraiment dans le jeu. Par contre, sa décrédibilise le caractère monstrueux de Manah qui n'est pas si difficile à vaincre finalement. Pour vaincre la prêtresse, il aura fallu un pseudo-exorcisme. Manah renvoie le sort et utilise sa magie pour se protéger des décombres et.... fini.
Même Inuart a paru plus costaud que ça.

Caim en passe d'être possédé par les archanges m'a fait un effet de "film américain"... Style, le héros à deux doigt de la mort, le passage de désespoir avant qu'il ne se ressaisisse. Vu que leur pacte a évolué dans une forme d'union plus prononcée, je ne vois pas trop pourquoi Caim serait influençable par les archanges sans qu'Angelus ne le soit aussi... Là, Angelus réveille Caim de la léthargie dans lequel il sombrait comme si le dragon ne pouvait pas être influencé.

Le plus regrettable c'est Seere. Il fait une sieste à côté des deux cadavres pensant être utile... Je n'aime pas le perso mais devant ce qui se passe, le gosse pourrait se secouer un peu.
Après, je pose une question : dans l'ordre des priorités de Seere, qu'est-ce que le plus important c'est d'être un héros ou retrouver sa sœur afin de reformer une famille ?
Dans Dr2, on le voit encore un poil obsédé à l'idée de retrouver Manah... Dans la scène là, il voit un Caim plus puissant que jamais, deux personnes mortes dont il est responsable et sa sœur qui ricane plus loin.
Ici, je le vois bien insister sur le fait qu'il n'a été qu'un fardeau, qu'il n'est pas l'enfant prodige, jettant son livre dans les premières flammes du coin. Vainement, il essaierai de sauver sa sœur, qui le projetterait violemment contre des ruines en lui faisant perdre connaissance.

Sympa le clin d'œil à Dr2. ^^

Séquence faute :
"Manah je t’en supplie, arrêtes !"
> arrête

"Seere se recueuillit sur le cadavre"
> recueillit

"Elle se précipitta dans le temple en riant."
> précipita

"Prépares-toi à entrer dans l’antre de la folie."
> Prépare

"Mais il n'aperçu qu’une ombre fuyante"
> aperçut

"Manah finit par apparaitre devant l’autel."
> apparaître

"La prêteresse du culte des Archanges était enfin à sa mercie."
> merci

"ils te rendront tout ce qui t’a été prit…"
> pris

"Mais alors qu’il s’appêta à commettre l’acte ultime"
> apprêta

"à énoncer ses psaumes imprononssables."
> imprononçables

"le sort jeté par Verdelet percutta Manah de plein fouet"
> percuta

"Sans soutient pour tenir, le plafond du sanctuaire s’effondra."
> soutien

"quant au destin qu’allait connaitre Manah"
> connaître

"Ta répemption est impossible !"
> rédemption

"Encore un sacrifice, chevrotta-t-il."
> chevrota

"et ses naseaux vibrèrent d’un profond soupire"
> soupir

"L’évêque se prosterna aussi-bas"
> aussi bas

"Caim était tellement assaillit par la douleur"
> assailli

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Epilogue

3 mots : court, dérangeant, expéditif.

Les souffrances du dragon sont bien représentées, la cérémonie est très fidèle à celle du jeu.
Caim est un peu trop raide, j'ai cru apercevoir Inuart très clairement dans certaines phrases.
"Caim aurait voulu que cet instant près d’elle ne s’arrête pas." (réaction > Ouch)
"Elle était magnifique, altière et divine. Comment avait-il pu un jour la trouver laide alors qu’elle était tout ce qu’il restait de plus merveilleux dans ce monde dévasté ?" (réaction > Raide morte on the floor)

Pour résumer grandement, le pacte a rempli en partie le vide douloureux se trouvant en Caim. Ce dernier cherchait à le combler avec la vengeance, la haine des dragons et le meurtre de ses ennemis.
Tout ceci n'était pas efficace comparé à la présence de son partenaire en lui. Avec la cérénomie, il sent de nouveau ce vide de façon réelle, vive et cruelle.
Donc là, il ressent une douleur épouventable et de l'incompréhension par le choix de son partenaire.
Limite, la seconde phrase (celle qui m'a tuée ^^), il ne s'agirait pas de beauté ou de laideur mais plutôt du souvenir de l'avoir haï qu'il trouverait incompréhensible aujourd'hui.

Oh ?!!! Et pendant ce temps, Seere dort tranquillement à côté des cadavres du pédophile et de la bouffeuse d'enfant.

Séquence faute :
"Caim rouvrit précipiamment ses yeux"
> précipitamment

"elle disparut dans le ciel, corruscant dans une clarté irréelle"
> coruscant
Cyberus Bédouinus Faischius Misanthropus: la Huitième Plaie du Web.
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