Je sens que ça va être long…

Pour faire plus ample connaissance.
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Kowken
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Enregistré le : 20 janv. 2022, 15:11

Je sens que ça va être long…

Message par Kowken »

Bonjour tout le monde !

En tant que dernier membre en lice de ce forum (du moins au moment de l’envoi de ce message), il me revient la tâche de déterrer celui-ci et de l’extirper (momentanément) de sa léthargie tel un cauchemar ambulant de fossoyeur.

Je me présente: je suis Kowken, un consommateur de médias en tout genre, quoiqu’avec un certain penchant pour la culture asiatique (en particulier nippone).

Comment j’ai découvert la licence DrakeNieR:

Étonnamment, j’ai commencé NieR à l’envers en me faisant spoiler sa fin par une vidéo de la chaîne YouTube Trash au titre racoleur (dont vous pourrez visionner l’extrait en question juste ici:
Le concept m’avait particulièrement plu puisqu’il me rappelait un certain Eternal Darkness: Sanity’s Requiem, que j’affectionnais particulièrement dans sa manière de concrétiser une horreur à laquelle aucun joueur ne pouvait se soustraire (soit la corruption de ses fichiers de jeu).

Malheureusement, n’ayant pas les moyens; consoles ou émulateurs; de vivre cette expérience, je dûs attendre de pouvoir me délivrer du diktat des consoles dites « familiales » pour pouvoir à mon tour plonger dans l’univers créé par Yoko Taro avec son dernier épisode original en date: NieR:Automata.
Autant dire que la claque vidéoludique que je me pris fût conséquente, assez pour me pousser à obtenir tous les trophées du jeu sans en acheter un seul et de le refaire en mode extrême.

Ceci étant fait, je me mis immédiatement en quête de compléter chacun des matériaux source faisant état de cet cosmogonie aussi sombre que loufoque: je jouai tout d’abord à Drakengard premier du nom avant de poursuivre avec son troisième opus (dont je prie chaque jour les cieux comme les enfers pour qu’un remake de celui-ci sauve ses idées de leur exécution douteuse) puis vint le tour du remaster de NieR Replicant avant que je me décide enfin à entamer Drakengard 2 (non sans avoir fini de lire les guides et autres spins-off tout d’abord).

Mon ressenti général:

Jouer à ces jeux fut une expérience marquante dans l’ensemble, autant en bien qu’en mal puisque les innovations apportées par les développeurs se retrouvent la plupart du temps sous ou mal exploités.
Une collaboration avec Masahiro Sakurai serait par ailleurs un de mes plus grands fantasmes, étant donné que les deux développeurs semblent bien s’entendre et partager les mêmes goûts (leur jeu de l’année 2020 étant par exemple l’excellent 13 Sentinels: Aegis Rim) tandis que le créateur de Smash Bros. et Kirby possède la maîtrise du gameplay qu’il manque au père du Yokoverse.
Le manque de clarté de certains passages constitue un autre point d’ombre sur le tableau car j’ai la manie de chercher comment le moindre détail s’explique.
La complexité du monde n’est d’ailleurs pas une excuse valable à mes yeux car d’autres franchises telles que le multivers de Type-Moon (mon préféré) parviennent à rester cohérent non seulement au sein de chaque œuvre mais aussi entre ces dernières malgré le lore autrement plus complexe avec lequel il a à faire.

Mes hobby:

Comme je le disais plus haut, je suis un aficionado de tout ce qui touche au Japon (d’aucuns diront un weeb mais je préfère paraphraser, ça fait plus propre). Mon affection pour les mangas m’a conduit à apprendre le japonais en autodidacte (je dois avoir le niveau JPLT4 lorsque j’écris ces lignes) ainsi qu’à en traduire une poignée et m’a permis de parler couramment l’anglais.
J’ai également une passion pour la collection: ma bibliothèque a récemment dépassé le millier de mangas, ma ludothèque comporte des centaines de jeux ainsi que des dizaines d’éditions collector et je pense sérieusement pouvoir ouvrir un magasin de jouets avec le nombre de figurines que je possède.

Cette obsession pour la pop culture japonaise ne m’empêche néanmoins pas d’apprécier moult autres formes d’art.

Ainsi, je suis amateur de Hard SF (en particulier les récits de rencontre du troisième type dès lors qu’ils parviennent à se libérer de la sempiternelle interprétation anthropocentrique des formes de vie extra-terrestre) dont je recommande la bibliographie de l’écrivain chinois Liu Cixin (en particulier la trilogie composée par « Le problème à trois corps », « La forêt sombre » et « La mort immortelle » ) ainsi que la série de romans intitulée « Le vieil homme et la Guerre » et écrite par John Scalzi.

Pour ce qui est des films autres que ceux produits par le Japon (évidemment), j’ai été conquis par l’approche française du thriller (les très immersifs « Chant Du Loup » et « Boîte Noire » étant mes derniers coups de cœur en date) et je porte depuis peu un certain intérêt pour le cinéma iranien (la démarche crue et sans concession d’œuvres telles que « Le diable n’existe pas » ou « Le pardon » ont provoqué chez moi une catharsis similaire à celle engendrée par mes mangas Seinen préférés).

Enfin, j’éprouve un amour sans discrimination pour de multiples genres de musiques incluant le rock, la J-Pop, le rap, les symphonies et la musique celtique par l’influence d’un ami aux goûts très éclectiques (si bien que ma playlist a à peu près autant de cohérence que les événements du dernier film Evangelion :-P)
À ce propos, je suis aussi pianiste et j’apprends actuellement le violon.

Je suis aussi un mordu de récits sombres, ayant été exposé à ce registre dès mon plus jeune âge: j’ai commencé Berserk et BLAME! à l’entrée du collège et j’ai commencé à jouer aux titres du studio From Software à la même époque, sur lesquels j’ai en cumulé aujourd’hui plusieurs milliers d’heures.
J’attends aussi particulièrement le jeu Elden Ring et désespérément la suite du manga « The Arms Peddler ».

Mes derniers projets:

En ce moment, je tente de rattraper la pléthore de mangas que l’on m’a recommandé mais que je n’ai pas encore fini (comprenant des titres comme Claymore, l’Ère des Cristaux, Kingdom et Dorohedoro) et j’achète beaucoup plus de jeux que je n’ai de temps pour y jouer (j’ai débuté entre autres les sagas Xeno et Yakuza ainsi que la ludographie de Fumito Ueda, Keniichiro Toyama et Ken Levine tout en disposant encore d’une bonne cinquantaine de Visual Novels à lire).

Je ne sais pas du tout comment finir ce message et j’en ai sûrement déjà trop dit de toute façon alors…

Enchanté !
Il ne s’agit pas de gagner, mais plutôt de faire passer un message.
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